mardi 29 novembre 2011

Fat girls and fairy cakes, Sue Watson

Quatrième de couverture :  
Pouvez-vous vraiment faire boulot basé sur vos rêves?

Producteur de télévision Stella Wetson est une personne qui travaille beaucoup, a du surpoids et sous le feu. Ayant lutté pendant des années en amont pour équilibrer sa carrière avec sa vie familiale, elle est remboursée par être mis au pâturage sur un programme de jardinage religieuses - avec un vicaire nerveux, son épouse nymphomane, et le jardinier en herbe, Gerald.

Dans le passé, le confort a toujours été trouvé au fond de son bol à mixer, mais même son gâteau éponge le plus délicieux avec glacage de citron avec ne peut pas sauver la journée, Stella décide que ça suffit.

Cependant, trouver le courage de quitter est parfois la partie facile. Pouvez-vous vraiment transformer une passion en une profession? Est-ce que plus de temps à la maison va vraiment vous donner une vie familiale plus heureuse? Les hommes sont-ils vraiment de Mars ou d'un autre univers tout à fait?

A Stella  de retrousser ses manches et de trouver - quand les choses se corsent, la bonne cuisson ...

Ce que j'en dis :
Eh bien je dois dire que je ne lis pas souvent ce genre, mais le chicklit est parfois agréable. Celui-ci était à cause de sa couverture et le titre ^ - ^ Et bien sûr, comme le titre l'indique ca parle aussi des gâteaux, Yummi!
Dès la première page, il était difficile de laisser tomber ce livre: Stella aurait pu être plus heureuse, elle a pour son patron de la haine et il semble que c'est irrévocable. Quoi qu'il en soit, il semble que MJ a des plans pour sa carrière et quand elle ne peut se voir quelqu'un, elle n'hésite pas. C'est ce qui arrive avec Stella.
Stella est une maman avec un surpoids, bien souvent loin de sa famille :  sa fille Grace, et son mari Tom. Chaque fois qu'elle est sollicitée, elle trouve le confort en faisant des gâteaux. Elle adore ça!
Alors quand son patron a déclaré que ce serait Stella qui sera en charge de prendre soin du programme de la religion - jardinage, pour Stella  c'en est de trop. Cela signifie être loin de sa famille encore une fois ... Heureusement, elle a ses bons amis: Lizzie et Al  qui  leur donnent  soutien.
Mais pour combien de temps elle va rester de cette façon sur son travail? Puis il semble que Tom, son mari, est éloigné ...

  Un bon livre que j'aime beaucoup pour son humour, même s'il y avait un drame que toute personne peut rencontrer dans sa vie, même si certains passages étaient clichés. J'aime bien Stella qui s'efforcent de viser sa carrière à la télévision et sa vie familiale en harmonie. Et quand son monde tourne à l'envers, c'est dur, bien sûr pour elle, mais ensuite elle a réalisé qu'elle a un don. Elle peut vivre en faisant  une seule chose qu'elle aime faire, avec l'aide de ses amis et ainsi avec Grace, sa fille.
Ce que j'aime aussi, c'est la description de quelques gâteaux ...  juste de fermer les yeux avoir un visuel, mmm. A la fin du livre il y a quelques recettes ;-)

dimanche 20 novembre 2011

Mon chien Stupide, John Fate

Présentation de l'éditeur :
Coincé entre une progéniture ingrate et un talent de plus en plus incertain, le personnage principal de Mon chien stupide oscille entre un cynisme salvateur et des envies de fuite. Fils d'immigrés italiens, il caresse le rêve d'un retour à ses racines, fantasmant sur une vie paisible aux terrasses des cafés de la Piazza Navona à Rome. Mais pour l'heure, il faut courir le cachet, écrire des scénarios médiocres pour des séries télé affligeantes... ou le plus souvent aller encaisser un chèque des allocations de chômage. L'existence tumultueuse de la famille est bouleversée lorsqu'un gigantesque chien décide de s'installer dans la maison, pour le plus grand bonheur de l'auteur raté mais au grand dam du reste de sa tribu. Mon chien stupide est une tragicomédie de la crise individuelle : crises d'adolescence à retardement, démon de midi, couple en déliquescence. John Fante signe ici un roman touchant, débordant de compassion et d'acide lucidité.

En deux mots : 
Je remercie tout d'abord mon amie Heureuse pour m'avoir offert ce roman, que je souhaitais lire depuis un moment.
Est-ce le fait que je l'ai lu à la mauvaise période (fatiguée, stressée) que je n'ai pas vraiment apprécié ce roman. Que je l'ai trouvé dérisoire ? 
La lecture s'est faite assez facilement et pourtant je l'ai trouvé ennuyeux. Les personnages m'ont semblé vides, plats, dépressifs... Un portrait caricatural d'une famille américaine ? Je ne sais pas et je n'en suis pas sure.
L'histoire racontée par le père de famille, de quatre enfants, qui n'a qu'une hâte de s'en débarrasser. Pour lui ils ne sont que sources d'ennuis. Alors le soir où il rentre chez lui et à affaire à un gros chien japonais de race akita, qui semble être obsédé (je ne pense pas avoir besoin de dire par quoi), homo à prioris stupide en plus ! Et je vous laisse devinez le nom du chien ;-) Honnêtement je n'avais même pas fait attention que c'était dans le titre :D

Bon ok, en relisant la description du livre, il est vrai qu'il est beaucoup questions de diverses crises à travers le personnage principal et certains de ses enfants. Mais non...
Non, j'ai bien peur que cette lecture n'avait aucun gout pour moi :s

samedi 19 novembre 2011

Mathilda Savitch, Victor Lodato

Présentation de l'éditeur :
C'est l'Amérique des minutes de silence, des peurs irraisonnées, des enfants qui se déguisent en
terroristes. Mathilda Savitch, adolescente en colère, déborde d'imagination sur les circonstances de la disparition d'Helene, sa soeur, écrasée par un train. Une imagination dont elle joue au quotidien, que ce soit pour torturer son chien bien-aimé ou pour attirer l'attention de ses parents aux yeux desquels elle se sent transparente. Cruellement inventive, Mathilda cherche sa place. L'auteur impose un style nerveux, mélange d'interrogations et d'affirmations péremptoires, d'innocence et de dureté, de naïveté et de perversité. Sans clichés ni complaisances.

Ce que j'en dis :
Je ne peux pas dire que j'ai aimé le style d'écriture, mais je reconnais que le personnage de Mathilda m'intriguait. Une ado entre 12- 14 ans qui est la narratrice tout au long de ce roman. Mathilda raconte la vie à la maison, sa relation entre elle et ses parents qui ont changé depuis la mort de sa soeur ainée un an auparavant.  Meurtre comme le croit Mathilda ou suicide? Mathilda fait ses petits films dans sa tête d'ado rebelle. Sa facon à elle de se souvenir de sa soeur. Elle est persuadé que le meurtrier esr toujours dehors, elle aimerait le trouver pour avoir réponse à sa question. 
Elle se rebelle pour faire rappeler à sa mère qu'elle, elle est vivante. D'une certaine façon, c'est sa manière d'attirer l'attention. Puis Mathilda ne supporte pas à l'idée qu'on ne puisse parler de sa défunte soeur sans que se soit un sujet tabou.Ses parents ont dut mal à faire le deuil, Mathilda aussi sans qu'elle le veuille l'avouer à elle-même.
Le roman traite aussi sous formes informations (que se soit au journal télé, à l'école) concernant le terrorisme, la guerre...qui a une certaine place majeure dans roman. Mais aussi de religion, après tout sa meilleure amie va à l'église et y croit ; de sexe, et d'autres petits sujets sous forme de questionnement à soit même comme ferait tout ado.

A la fin du roman, nous pourrons vite comprendre que le sujet du livre est accepter la vérité. Et Mathilda devra l'admettre également lors de sa propre enquête sur le meurtrier de sa soeur.

De là à vous coseiller de l'acheter, non ca n'en vaut pas le peine si vous souhaitez le lire. Moi-même je l'ai emprunté et en suis bien heureuse. Je reconnais ceci dit que c'était un bon roman même si son sujet était loin d'être gaie.

Le livre des lunes - tome 3 - 18 Lunes, Kami Garcia & Margaret Stohl

Présentation de l'éditeur :
Entourés de Link, l'Incube nouveau venu, et de Ridley, la Sirène déchue, Ethan et Lena vont vivre une nouvelle année de rêves et de cauchemars. Entre malédiction et trahisons, le choix de l'amour est-il encore possible?

Rapidement :
Mon avis va semblait bizarre : j'ai beaucoup aimé ce roman mais en même temps j'ai trouvé que ca trainé, ca n’avançait pas vraiment par rapport au tome 2.
Bien sûr j'ai été heureuse d'avoir retrouvé Lena et Ethan, mais en le fermant on en reste au même point. D'ailleurs on ne sait pas vraiment comment ca se termine pour moi c'est comme trois points de suspensions. Mais leur relation est toujours aussi électrique. Tout comme l'est la petite ville depuis que Lena s'est déclarée elle-même ou l'Appel de Lena dans la version francaise.  Même Amma change et son comportement devient inquiétant vis à vis de Ethan.
Pas facile de parler d'un tome sans en dévoiler la trame. Je pense que le sujet principal de l'histoire est l'origine du mal dans la famille de Lena.
Le livre devient intriguant que vers la fin. Fin que j'ai déstesté car de plus en plus de roman se termine ainsi : en vous laissant sur votre faim. Vous tournez la page d'après pour lire " 19 moons" (je l'ai lu en v.o). Pour moi ce n'est pas une vrai fin ! Déjà je pensais que ce troisième tome serait le dernier, je me suis trompée. Lirais-je le quatrième ? Je ne pense pas que je me précipiterais pour l'acheter voire le lire :s
Après chacun voit midi à sa porte.

dimanche 6 novembre 2011

Les fleurs de lune, Jetta Carleton

Présentation de l'éditeur :
Début du XXe siècle. Dans leur ferme du Missouri, Matthew et Callie Soames élèvent leurs quatre filles, aux personnalités différentes mais au caractère bien trempé : Jessica leur brisera le cœur en s’enfuyant dès sa dix-huitième année, Leonie tombera amoureuse de l’homme dont il ne fallait pas s’amouracher, Mary Jo s’arrachera au cocon familial pour aller faire carrière à New York, et le destin de Mathy, l’enfant sauvage, se conclura par la plus terrible des tragédies. Ces années durant, malgré chagrins et déceptions, les Soames parviendront, malgré tout, à préserver les liens d’amour, qui forment le ciment même de leur famille. Une magnifique chronique romanesque, toute imprégnée des odeurs de l’Amérique profonde.
La saveur de ce roman ressemble beaucoup à celle de Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. Il a le même goût tranquille de nostalgie, un parfum d’herbe bleue et de roses sauvages… Denver Post.

En quelques mots :
Un roman que j'ai beaucoup pour son style d'écriture. Le roman peut paraitre à certain sous forme de saga familiale mais je dirais plus comme dans la description de l'éditeur " un roman qui a un goût tranquille de nostalgie". Une lecture qui m'a été très agréable et que je recommanderais.
Le roman se partage en six parties. La première décrivant la famille, qui se retrouve durant l'été, comme tous les ans. Puis ensuite chaque personnage de la famille à sa propre partie : décrivant non seulement plus profondément le caractère de celui qui est concerné, mais aussi la raison du pourquoi avoir choisi tel chemin, d'être la personne qu'il / elle est. En suivant le parcours de chacun...
Les plus intéressants pour moi étant, je dirais, celui des parents : Matthew et Callie. Comment chacun percevait l'autre avant d'être ensemble. Malgré la vie de jeune marié, chacun ayant cédé, fauté sans que l'autre ne soit au courant...Ce qui aide aussi à mieux comprendre pourquoi Matthew était très strict avec ses filles, et distant. 
Quand aux soeurs, entre celle qui se dévouait à la famille, celle qui était dévergondé et la dernière d'une insolence, et espièglerie en à donner du mal à ses parents. Elles sont toutes différentes entre elles et pourtant d'une certaine facon, elles sont proches.

Oui, pour moi ce roman avait un goût assez doux, nostalgique. Un beau voyage également. Faut savoir que je l'avais acheté plus ou moins sur un coup de tête sans vraiment savoir de quoi l'histoire en retourner.
 
Header image by sabrinaeras @ Flickr